lunedì 3 giugno 2013


CHARLOTTE SCHAPIRA

Martina Giacomazzi, Sofia Franco, Beatrice Berardi, Stefano Bracchi, Vanessa Bertoni

Jamais oublier l’Holocauste, l’extermination, par les nazis, de six millions de personnes, juifs, résistants, gitans et homosexuels. Née Charlotte Lewis, à Paris, de parents juifs originaires de Pologne, elle a vu disparaitre une bonne partie de sa famille dans les camps de la mort. Elle a été arretée le 21 juillet 1944, puis déportée à Auschwitz. Depuis des années, elle se rend dans les collèges et les lycées.
Quand la guerre a éclaté, elle avait 13 ans. L’atmosphère à Paris et chez elle étaient inquiets comme tout le monde. Elle était loin d’imaginer ce qui allait arriver. Ses parents n’abordaient pas le sujet avec elle pour ne pas elle effrayer.
Au début allait à l’école. Par la suite, elle a été chassée de l’école publique parce que elle était juive. Etre chassé de l’école vous juif, protestant, musulman ou noir ?.Elle était humiliée. Ensuite , il y a eu toutes ces mesures contre les juifs. On a du porter l’étoile jaune. Dans le métro, on avait dans le dernier wagon. Et on  n’avait le droit de faire les courses qu’entre 12 heures et 13 heures. On n’avait pas le droit de circuler dans les rues entre 20 heures et 6 heures. A l’entrée des jardins publics et sur la vitrine de certains cafés, il était écrit : « Interdit aux chiens, aux nègres et aux juifs ».

En 1942, ses parents et ses petit frères ont été arretés. Elle avait 16 ans. Ce sont des policiers francais qui sont venus ils chercher. Ils ils ont donné l’ordre de prendre quelques affaires et de quoi manger. Au commissariat, elle a été relachée, parce que elle était née en France.
Ses voisins ou dans la rue, personne n’a protesté contre ces arrestations.

Tous les jours, elle revit ce cauchemar, meme si avec le temps, elle a repris gout à la vie. Aujourd’hui, elle parle dans les collèges et les lycées, et elle sent que les élèves sont concernés.

 

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