CHARLOTTE SCHAPIRA
Martina Giacomazzi, Sofia Franco, Beatrice Berardi, Stefano Bracchi, Vanessa Bertoni
Jamais oublier l’Holocauste,
l’extermination, par les nazis, de six millions de personnes, juifs,
résistants, gitans et homosexuels. Née Charlotte Lewis, à Paris, de parents
juifs originaires de Pologne, elle a vu disparaitre une bonne partie de sa
famille dans les camps de la mort. Elle a été arretée le 21 juillet 1944, puis
déportée à Auschwitz. Depuis des années, elle se rend dans les collèges et les
lycées.
Quand la guerre a
éclaté, elle avait 13 ans. L’atmosphère à Paris et chez elle étaient inquiets
comme tout le monde. Elle était loin d’imaginer ce qui allait arriver. Ses parents
n’abordaient pas le sujet avec elle pour ne pas elle effrayer.
Au début allait à
l’école. Par la suite, elle a été chassée de l’école publique parce que elle
était juive. Etre chassé de l’école vous juif, protestant, musulman ou noir ?.Elle
était humiliée. Ensuite , il y a eu toutes ces mesures contre les juifs. On a
du porter l’étoile jaune. Dans le métro, on avait dans le dernier wagon. Et on n’avait le droit de faire les courses qu’entre
12 heures et 13 heures. On n’avait pas le droit de circuler dans les rues entre
20 heures et 6 heures. A l’entrée des jardins publics et sur la vitrine de
certains cafés, il était écrit : « Interdit aux chiens, aux
nègres et aux juifs ».
En 1942, ses
parents et ses petit frères ont été arretés. Elle avait 16 ans. Ce sont des policiers
francais qui sont venus ils chercher. Ils ils ont donné l’ordre de prendre
quelques affaires et de quoi manger. Au commissariat, elle a été relachée,
parce que elle était née en France.
Ses voisins ou
dans la rue, personne n’a protesté contre ces arrestations.
Tous les jours,
elle revit ce cauchemar, meme si avec le temps, elle a repris gout à la vie. Aujourd’hui,
elle parle dans les collèges et les lycées, et elle sent que les élèves sont
concernés.
Nessun commento:
Posta un commento